Les chroniques de la Pleine Lune : qu'en pensez-vous ?

ouai mais je suis la première à lire et à poster un message !!

comment ça se fait que tu lise avant que se soit posté ?

Citation :

putain qui te l'a deescendu comme ça ton boxer??
on peut le faire d'un trait...et en plus ça fout l'autre dans un états assez..on va dire que ça le rend fou hein, pour être gentil !

Ben, avec les dents, c'est déja plus dur ^^

tu n'a pas la bonne méthode lol !

Hitomi qui expose son point de vue, et Takeo qui essaie de la contre-dire, c'est amusant lol.
Sinon, c'est pas mal.

Bon... j'ai fini (depuis longtemps) mais comme t'avais pas trop la pêche en maths bah je consens à te laisser un com....
Jpeux pas critiquer, j'avais jamais lu de yaoi avant... Mais à des moments j'étais litéralement pétée de rire... surtout au moment du dilemme de kazuko puis celui de takéo! alalala sacré victor... j'attends le passage du revolver qui dénigrera définitivement l'image de mon père (vu qu'il l'utilise assez souvent en entrainement(je précise, mon père est un gros connard mais ce n'est pas encore un meutrier))
Bon sinon... souris un peu, 13.5 en maths c'est ps la mort! voilouuuuuuu
PS: et après tu oses dire que je me trompe quand je te traites de pervers obsédé? loooooooool

dis toi que kaya a eu 8... ^^''

ayu, tu vois la porte ??

mdr moi aussi je l'attend ce passage avec le révolver.... *no comment... *

nan interdit !! les armes sont interdites sur ce forum !!! ici on est peace and lol !!!!

Mon baffeur ne devrait pas être considéré comme une arme?

Takéo : Ikeeeeeeeeeee !! Gambatteeeeeeeeeeeeeeeeee !!!

Hitomi a écrit:

tu n'a pas la bonne méthode lol !

je suppose que tu as la bonne toi, tu sais le faire peut être ?

Voyons, tu sais bien que Hitomi connait toutes les techniques concernant ce genre de choses... ^^

Sciere non solum sed etiam possum bene est!

héhé, suite du yaoi.
ero laeg


Des ses lèvres ouvertes, il frôla doucement la verge tout en la caressant de sa main gauche. Puis, il recouvrit le gland de sa main, et fit courir ses lèvres et ses dents le long du pénis de Takéo. Ce dernier, préféra ne pas regarder ce que le bonze faisait, de peur que ses yeux jaillissent hors de ses orbites à la vue d’un spectacle érotique à ce point. Galad décida ensuite de passer à la vitesse supérieure : ses lèvres remontèrent jusqu’au gland et aspirèrent légèrement. Puis, arrachant à Takéo des gémissements d’extase, il commença le mouvement de va-et-vient, d’abord infime, mais descendant un peu plus à chaque fois. Toutefois, sentant l’excitation de Takéo monter, il s’arrêta l’espace d’un instant. Instant qui paru interminable pour Takéo.
- Continue ! S’il-te-plaîîîît continue !
Il n’eut pas besoin de lui demander deux fois. Galad reprit quasi-immédiatement l’érection de Takéo dans sa bouche. Cette fois, son mouvement était plus lent, mais sa langue caressait habilement le gland de son jeune partenaire. Ce dernier était aux anges. Il n’avait pas la moindre expérience sexuelle, et pour une première fois c’était plutôt réussi ! Laeg lui faisait découvrir des sensations dont il n’aurait jamais soupçonné l’existence auparavant. La manière dont il utilisait sa bouche, les caresses exquises de ses mains, son regard pervers à souhait… hum, c’était le paradis, mais en mieux.
Une fois de plus, Galad sentit le sexe de Takéo durcir un peu plus dans sa bouche, quelques-uns de ses muscles se contracter légèrement et il entendit son souffle devenir un peu plus fort : il allait éjaculer. S’il n’avais pas eu la bouche encombré de la sorte, il aurait sourit jusqu’aux oreilles : il n’en fallait pas beaucoup à ce gamin pour jouir. Parfait.
Une fois de plus, il lâcha le sexe de Takéo pour le prendre dans sa main et commencer à le caresser adroitement, tandis que ses lèvres perverses embrassaient le gland du puceau par succion, comme s’il s’agissait d’une lèvre inférieure.
Takéo ferma les yeux pour mieux profiter du plaisir que le bonze lui procurait. Cette situation lui semblait irréaliste. Deux mois auparavant, il n’aurait jamais imaginé qu’une telle chose était possible et il n’aurait jamais laissé quelqu’un faire ce que Galad était en train de faire ; mais à présent il lui avait dévoilé son intimité comme si c’était la chose la plus naturelle à faire. Il se demanda pourquoi il faisait tellement confiance au beau blond.
La raison s’imposa d’elle-même : il l’aimait.
Une vague de plaisir l’arracha à ses pensées : le bonze était décidément passé maître dans l’art de la fellation. Il était à présent de lui lécher le pénis tandis que sa main opérait un mouvement de va-et-vient ni trop fort, ni trop léger. Tout simplement délicieux.
Après quelques instants de plaisir ponctué de gémissement de plus en plus intenses, Takéo faillit éjaculer à nouveau, mais Laeg s’arrêta à temps.
- Un peu de patience petit.
Un instant plus tard, il avait repris son œuvre. Il était maintenant en train d’aspirer la verge du puceau, tout en la caressant avec sa langue. Ce dernier était tout simplement ravi. Ensuite, Laeg-Galad passa à la dernière étape : il prit entièrement le sexe dur à souhait dans sa bouche, et se mit à opérer un mouvement de va-et-vient lascif.
- Oh mon dieu… ne pu s’empêcher de gémir le brun.
Le bonze -à qui on avait appris qu’il ne fallait pas parler la bouche pleine – lâcha la verge de son partenaire et dit avec un sourire pervers
- Appelle-moi Galad.
Puis, de ses lèvres obscènes, il acheva ce qu’il avait commencé. Ses mouvements étaient à présent de plus en plus rapides, descendaient de plus en plus bas, tandis que les gémissements de Takéo étaient de plus en plus forts. Les mains de Laeg s’étaient mises à parcourir le corps brûlant du jeune homme, faisant ainsi monter son plaisir d’un cran. Soudain, sans crier gare (mais en criant quand même), Takéo éjacula. Le bonze av ala goulument le sperme sucré, puis remonta au niveau du visage du petit brun.
- Alors, t’as compris comment on fait se genre de choses ? mumura-t-il en ponctuant sa phrase d’un fougueux baiser.

cool enfin une suite !!! ^^



rectification, je voulais une suite de la fic, pas du yaoi !!!!

Kumiko a écrit:

C'est trop dur d'écrire français

traduction : "savoir est bien mais pouvoir est mieux"



Takéo> avoue que tu en as envie

Euh que dire? surtout penser à ne pas faire lire à radhia et marion...
(tu sais qu'à certains moments c'est à gerber?(pas ds les actions mais dans les 4dernières lignes c'est .. bêrk))

avec le prof ? *pars rejoindre kumiko*

Hum, j'ai TOUT relu......... J'ai apssé mon temsp à vérifier qu'il y avait personne dans ma chambre ! XD, j'ai peur de le dire, amis pas mal.....
(Mon innocence en prend un coup :p)

rha... écrire un yaoi est une chose fantastique ^^

et écrire la suite des chroniques de la pleine lune c'est pas fantastique ?

Takeo a écrit:

rha... écrire un yaoi est une chose fantastique ^^

tu écris tous tes fantasmes ^^

Takeo a écrit:

rha... écrire un yaoi est une chose fantastique ^^

Mouais masi d'après toi bcp de choses sont fantastiques et ton meilleur antidépresseur est... assez spécial dirons nous! Donc je ne me prononcerais pas là dessus sinon je vais devenir blessante et ça me ferait chier ^^

Il fait si froid, j'ai si peur.
J'entend leurs voix qui me cherchent.
Chaque cris me transperce le coeur.

Pourquoi moi ?
Pourquoi as-tu fais ca papa ?
Pourquoi as-tu fais ca à maman ?
Pourquoi tu m'as montré ce que je ne voulais jamais voir ?

Je te hais ! JE TE HAIS !
Tu disais l'aimer, tu l'as tué !
TU L'AS TUE !

Tout allait bien, nous étions heureux.
Maman sourait encore,
Mais il a fallu que tu décide de notre sort.

Te es revenu, et tu l'as battu.
Sous mes yeux, tu l'as rabaissé.
La seule personne personne en qui je croyais.
La seule personne qui me séparait de la solitude.
Tu l'as frappé, encore, et encore, sans aucune pitié...

C'était il y a six mois.
Tu as continué, ainsi
Jour après jour, tu la frappais.
Nuit après nuit, tu la violais.

Jusqu'à ce soir,
Tu l'as encore fait,
Sous mes yeux.
"Non ! pas devant Takéo ! Pas devant lui !"
A-t elle hurlé.
Tu ne l'as pas écouté, je ne l'ai pas supporté.
Dans ton dos, j'ai saisi un couteau,
Et dans ton dos,
Je l'ai planté.

Tu as résisté, tu t'es débattu
Mais finalement je t'ai tué.
Tu ne peux pas savoir le sentiment que j'avais en te voyant baigner dans ton sang, j'étais tellement hereux et tellement dégouté.
Mais c'était trop tard,
Maman était morte.

Tu l'avais définitivement brisée.


J'ai froid, j'ai peur.
Leurs voix arrivent,
Le glas sonne.

Je crois que je vais mourir
Le trou que tu as fait dans mon ventre me fait trop souffrir.





Takéo, journal d'un fou.
Première page.